La Mort de Sardanapale d'Eugène Delacroix
Comme je partage cet autodafé de Sardanapale …pourquoi laisser au vainqueur tout ce que l’on a bâtit et aimé ?....
C’est avant tout une pichenette à la défaite !!!
Quelle débauche de couleurs, de visages, d’expressions douloureuses...Tout sent la mort...Tout exhale le sang et l’encens …
Tout transpire la violence du moment et des sentiments …
Chevaux, femmes, esclaves …tout péri …Avec le Maitre …
Dans les volutes du brasier …le bûcher des vanités se consume
Merci Delacroix …merci pour cette merveilleuse leçon haute en couleur ...